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Conseils essentiels et premiers réflexes pour les victimes d’un accident de la circulation afin d’optimiser au final leur indemnisation :

Agir rapidement après l’accident

    **Faire un constat amiable** : Même en cas de choc léger, remplissez-le avec précision. 

    **Appeler les secours et la police** : Un procès-verbal (PV) est crucial en cas de blessures ou de désaccord sur les circonstances. 

    **Prendre des photos** : Du véhicule, des dégâts, de la position des voitures et de l’environnement (feux, panneaux, etc.). 

    Obtenir un certificat médical initial détaillé

    **Consulter un médecin dans les 24-48h** : Même sans blessure apparente (certains traumatismes apparaissent plus tard). 

    **Faire mentionner toutes les douleurs** : Céphalées, cervicalgies, choc émotionnel, etc. 

    **obtenir si possible la mention de l’ITT (Incapacité Temporaire Totale)** : Elle influence directement le niveau d’indemnisation. 

    Assurer un suivi médical rigoureux

    **Consulter des spécialistes** : Traumatologue, kinésithérapeute, psychologue, psychiatre si nécessaire. 

    **Garder tous les documents** : Comptes-rendus, ordonnances, feuilles de soin, arrêts de travail. 

    **Ne pas interrompre le traitement** sans avis médical (risque de contestation par l’assurance). 

    Préparer l’expertise médicale (convocation par l’assurance)

      **Se faire accompagner par un médecin conseil (choisi par vous ou votre avocat) et votre avocat.

    **Décrire précisément vos séquelles** : Douleurs chroniques, limitations physiques, impact psychologique, besoin en aide humaine etc…. 

    **Apporter tout le dossier médical** : Examens, radios, bilans, témoignages de proches. 

    Documenter les préjudices économiques

    **Conserver toutes les factures** : Frais médicaux, aides à domicile, aménagement du véhicule/logement. 

    **Justifier les pertes de revenus** : Bulletins de salaire, attestation de l’employeur. 

    **Évaluer les pertes futures** : Incapacité partielle, reconversion professionnelle. 

    Faire valoir les préjudices non économiques

    **Tenir un journal de douleur** : Décrire au quotidien les souffrances et limitations. 

    **Faire attester l’impact sur votre vie** : Par la famille, les amis, un psychologue. 

    **Inclure les préjudices moraux** : Anxiété, dépression, perte de qualité de vie. 

    Gérer les démarches avec l’assurance

    **Ne pas signer de proposition hâtive** : Les premières offres sont souvent sous-évaluées. 

    **Demander une provision** : Pour couvrir les frais urgents (médicaux, perte de salaire). 

    **Consulter un avocat spécialisé** dès le départ : Pour négocier ou engager un recours si nécessaire. 

    Respecter les délais légaux** ⏳ **Délai de prescription** : 

    ### **À retenir**

    🔹 **Ne rien minimiser** : Plus vos séquelles sont documentées, meilleure sera l’indemnisation. 

    🔹 **Anticiper l’avenir** : Certaines séquelles (arthrose, troubles psychologiques) apparaissent des années après. 

    🔹 être assisté dès le début par un avocat qualifié en indemnisation de dommage corporels.

    Maître Vincent RAFFIN, Avocat Associé au sein du cabinet BRG Avocats [Nantes-Paris], et responsable du Département droit médical et dommages corporels, vous conseille, vous assiste et vous accompagne sur toute la France, en métropole comme en outre-mer, concernant vos litiges.

    Pour le contacter, appelez-le au 02.40.89.00.70, ou prenez contact au moyen du formulaire de contact afin qu’une réponse vous soit apportée dans les meilleurs délais.

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    http://www.brg-avocats.fr/

    Et

    https://consultation.avocat.fr/blog/vincent-raffin